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Présentation
Atelier sur site du Plan de paysage des Transitions du Pilat (69/42)
Isabel Claus est ingénieure-paysagiste, son approche transversale l’amène à aborder le paysage sous différentes formes :
• des projets de grands territoires (planification et prospective) ;
• les transitions énergétiques et climatiques  (ENR, guides, formations…) ;
• des projets agricoles en sites classés et inscrits (élevage, maraîchage…) ;
• des projets pré-opérationnels (parcs, belvédères, mobilités…) ;
• des projets culturels et artistiques (commissariats d’expositions, films, mises en scène de photographies…).
Elle travaille en équipe pour tous les projets, 
au sein de groupements et avec plusieurs sous-traitants réguliers dont Atelier Osmia (graphisme).
Ensemble, nous aspirons à  améliorer la qualité de vie des populations, agir dans une économie de moyens, faire du paysage une approche fédératrice.
Après une première formation dans les arts vivants, elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage de Blois en 2009. Elle exerce depuis 2015 en libéral, après des expériences dans les champs du public et du parapublic (Scot, Caue, association). Elle travaille à Lyon, en régions Rhône-Alpes-Auvergne, parisienne et là où les projets stimulant la mènent.
isabelclaus.paysage@gmail.com
+33 (0)6 83 85 31 41
Lyon, Rhône-Alpes Auvergne, France
Sensibilités spatiales et sociétales

Les enjeux sociétaux des grands espaces la touchent particulièrement. La planification et la prospective lui offrent ce plaisir de lier cette complexité du réel, dans les sensibilités spatiales des territoires qu’elle affectionne.

Les projets récents s’axent beaucoup sur une approche paysagère de la planification des énergies renouvelables: un véritable laboratoire.

Elle a la chance d’oeuvrer à des projets agricoles au sein de sites classés, ambitieux en terme écologique et de circuit-courts.
Ramasseuses d’oignons,Tokushima, Japon
Sisyphe, Bâle
Différentes commandes lui ont permis de positionner la culture et l’art dans le champ de sa pratique professionnelle, avec de nombreux collaborateurs (photographes, artistes vidéastes, chorégraphes, scénographes…).
En parallèle, sa pratique régulière de la danse irrigue sa sensibilité à l’espace et aux mouvement des corps.
Goûter l’épaisseur du réel par
le paysage et la danse
Une curiosité toujours renouvelée par l’extérieur et une sorte de joie très basique d’être là. De goûter le réel.
Autant que le paysage, la danse apporte une sorte d’intelligence du vivant et exprime une sensibilité à l’espace.
 Les deux disciplines offrent une certaine joie quotidienne d’être vivant, de se sentir un organisme influencé par son environnement, de penser parfois un peu plus ‘horizontalement’ et par le sol. Croisant les approches empirique et scientifique, elles apportent une observation fine et sensible du réel, une sensation de son épaisseur.
Les qualités du vivre ensemble, des relations spatiales et des usages semblent guider toutes mes recherches. D’où le plaisir de la marche, de danser, d’être en baskets, sortir 1h, 2 jours ou 2 semaines, observer le quotidien, les lieux possibles de déséquilibres, voir l’espace se dégager des corps comme des lieux.
Recommandation
Claude Parent, architecte et théoricien, s’adressant à Nicolas Firket (agence Rem Koolhaas).
« Cher Nicolas Firket, malgré vos fonctions certainement harassantes chez K. je serais heureux que vous dialoguiez un long moment avec Isabel Claus, ex danseuse et maintenant paysagiste d’une grande ouverture d’esprit. Elle me semble même, après un premier contact et une lecture de son travail, pouvoir apporter à votre agence une attitude intéressante, dans l’approche, dans l’attention qu’elle porte au dialogue du corps avec l’espace avec le paysage et bien sûr avec le sol. »
Claude Parent, le 1er mars 2007.